La plus grande encyclopédie libre du monde est menacée. Ou plutôt, celles et ceux qui, bénévolement, font Wikipédia au quotidien. Son principe a de quoi déplaire aux régimes totalitaires : elle est une source de savoir ouverte à tous et toutes, sans hiérarchie ni utilisation commerciale des données personnelles. Un projet qui détonne dans le paysage de l’Internet dominé par les Gafam… Et pourrait inspirer, qui sait, de nouvelles manières de vivre ensemble sur le web.